Posted by Rude Baguette     Technology
Here we go: Criteo files its IPO, could be trading as early as October

Criteo has filed its public IPO documents with the SEC, meaning the IPO could be no more than a month [...]

http://www.rudebaguette.com/2013/09/18/criteo-files-ipo/
Posted by Philippe Béchade     Economy/Stock ex.
Fed, assouplissement quantitatif et dette des Etats

- La candidature implicite de Lawrence Summers avait irrité les naseaux de certains parlementaires et de quelques brasseurs d'argent. Ce n'était rien de plus qu'une simple sensation poivrée, toutefois - rien à voir avec un virus susceptible de gripper durablement Wall Street.

La preuve, les indices américains s'offrent 48 heures de hausse quasi-linéaire. Le Nasdaq, qui avait manqué le train de la hausse la veille, s'est largement rattrapé mardi soir avec un gain de 0,75% et un nouveau record historique de clôture à 3 745 points.

Le S&P 500 qui avait pris 0,6% la veille a rajouté 0,45% pour clôturer pour la quatrième fois de l'histoire au-dessus des 1 700 points. Les trois précédentes avaient été enregistrées les 1er puis 2 et 5 août dernier - dans des circonstances quelque peu différentes puisque les indices américains avaient temporisé entre le 23 et le 31 juillet.

Cette fois-ci, le S&P ainsi que le Dow Jones ou le Russell 2000 viennent d'aligner 10 séances de hausse sur une série de 11. C'est tout à fait exceptionnel : il s'écoule des années et parfois mêmes des décennies sans que rien de tel ne se produise.

Or des séries comme celles-là, on peut en dénombrer pas moins de quatre cette année, quelles que soient les nouvelles économiques, l'évolution des taux d'intérêt, le plongeon des devises émergentes, le contexte géopolitique.

Les actions montent, obstinément, sans besoin du moindre prétexte ou de la plus petite cause tangible.

Elles montent inexorablement, non pas pour corriger un excès baissier mais bien prolonger des séquences "full bull". Ce qui se termine dans 95% des cas par une saine consolidation débouche presque systématiquement sur une accélération haussière depuis la mise en place du QE3 dans sa version intégrale (c'est-à-dire depuis décembre 2013).

- Droit dans le mur
Ce que nous observons en 2013 est en fait assez semblable aux phases haussières maniaques très caractéristiques des deux précédentes campagnes d'injection monétaire de la Fed, en 2009/2010 puis de novembre 2010 à juin 2011.

Ce qui nous a chaque fois étonné, c'est que les indices boursiers ont continué à progresser rageusement jusqu'à ce que la Fed coupe le robinet... à une date connue des marchés de six à 12 mois à l'avance.

Oui, vous pouvez vérifier sur les graphiques de 2010 et 2011 : malgré un calendrier parfaitement balisé [...]

http://la-chronique-agora.com/fed-assouplissement-quantitatif-dette-etats/
Posted by Rude Baguette     Technology
Britain looks to woo French startups & investors via trip on October 1st.

In celebration of their 140th anniversary, the Franco-British Chamber of Commerce is organizing a day-l

[...]

http://www.rudebaguette.com/2013/09/18/join-london-event-trip-on-oct-1st-to-learn-more-about-expanding-to-uk-and-londons-techcity/
Posted by Pierre Chappaz     Politics
Bon anniversaire la crise!

La faillite de Lehman Brothers, c'était il y a 5 ans. Plombée par les crédits immobiliers pourris, les fameux subprimes, littéralement "prêts hypothécaires à haut risque", la banque déclenchait un véritable tsunami dans le système bancaire. Les gouvernements n'avaient plus le choix: il fallait renflouer les banques en urgence.

Confondant cause et conséquence, le monde politique et les medias embrayaient sur le thème des "salauds de banquiers", au point que l'opinion est [...]

http://libertarien.overblog.com/bon-anniversaire-la-crise
Posted by h16     Politics
Le chantage écolo n'a pas marché. Et c'est tant mieux.

Horreur et abomination. Le gentil fantassin du changement, François Hollande, n'instaurera pas de taxe sur le diesel en 2014 comme le réclament les Verts. Dans les rangs du parti écolotaxatoire, ce fut la consternation pendant les premières minutes et, une fois le coup encaissé, la rage, la colère, l'explosion.

Il faut dire que le fier pédaloflanbiste n'y est pas allé avec le dos de la cuillère en argent puisque lors de son allocution somnifère du dimanche 15 septembre, à laquelle il avait convié une sémillante Claire Chazal du service de télé privé sans déclencher la moindre bronca de la part des zélés thuriféraires de la neutralité médiatique, il aura déclaré, avec une dose minimale d'hésitation :

« Il ne faut pas réduire l'écologie à l'impôt »

Et il a raison puisque l'impôt n'est qu'une mamelle de l'écologie en France, l'autre étant la subvention (Ok, soit, il y aussi la destruction du patrimoine ou des paysages, comme ici, mais c'est plus une excroissance qu'une mamelle, disons). Pas étonnant que les écolos se soient ensuite fâchés tout vert lorsque le président a précisé que la contribution « Climat-Énergie » sera correctement fourrée à la taxe, mais pas l'année prochaine. Saperlipopette ! Rien l'année prochaine ? Mais, c'est parfaitement scandaleux, ça, monsieur !

Et c'est d'autant plus scandaleux que, on se le rappelle, les écolos avaient clairement posé un bel ultimatum à Hollande, à la suite d'une semaine fort agitée où le gouvernement et les deux partis socialistes (le canal officiel et le canal naturophile) s'étaient chamaillés pour savoir s'il faudrait sur-cogner le diesel ou se contenter de la bastonnade habituelle : Pascal Durand, le secrétaire national de Europe-Écologie-Les-Vers-Et-Les-Tirets, avait ainsi déclaré

« Hollande a six jours pour nous dire ce que va vraiment être la transition énergétique. »

Il manquait cruellement le « ou sinon » traditionnel qui accompagne ce genre de sorties bravaches, mais le principe était clair (et le sous-entendu tout autant) : le président accepte le principe d'une nouvelle taxation du diesel, ou sinon... Ou sinon on peut supposer que les socialistes-écolos refuseraient de s'allier aux socialistes-qui-aiment-le-changement-maintenant aux prochaines élections [...]

http://h16free.com/2013/09/18/25988-le-chantage-ecolo-na-pas-marche-et-cest-tant-mieux
Posted by Olivier Berruyer     Economy/Stock ex.
[Vidéo] Comment penser et représenter la crise, par Frédéric Lordon & André Orléan

Un débat intéressant - un peu complexe par certains moments quand le propos dérive sur la philosophie (vous pouvez avancer un peu...). Mais quelques perles sur la crise...

Le 21 juillet 2012 au Festival d'Avignon, une rencontre au théâtre des idées entre Frédéric Lordon et André Orléan au sujet des crises économiques dans le système capitaliste. Avec une pincé de théorie Gramsciste inavouée, les intervenants cherchent des formes de représentation de la crise [...]

http://www.les-crises.fr/comment-penser-la-crise/
Posted by Guillaume Nicoulaud     Economy/Stock ex.
L'Europe depuis l'an 1000

Remarquable petite vidéo qui retrace l'histoire européenne depuis l'an 1000 au travers d'une simple carte.

Ce qui permet de remettre en perspective les romans nationaux des uns et des autres... [...]

http://ordrespontane.blogspot.fr/2013/09/leurope-depuis-lan-1000.html
Posted by Pierre Chappaz     Politics
Le vrai chiffre de la croissance 2013 en une image

La croissance 2013 de la France, annoncée à 0,1% par le gouvernement, est en réalité de MOINS 2,5%!

Explications, suivez moi bien:

- la croissance de 0,1% du PIB est obtenue à crédit, par un déficit de l'Etat de 4,1% du PIB.

- Ce déficit vient gonfler la dette de l'Etat français.

- Pour calculer la croissance réelle, celle qui aurait lieu en l'absence du déficit, je ne tiens compte que de la part de la dette qui est financée par l'étranger: 64%. En [...]

http://libertarien.overblog.com/le-vrai-chiffre-de-la-croissance-2013-en-une-image
Posted by Rude Baguette     Technology
Code in the Dark prizes valued at 3000€ in hardware, free rides & more!

Code in the Dark is just 10 days away, and frankly, we're just too excited to keep the prizes a secret. We already revealed that the event, taking [...]

http://www.rudebaguette.com/2013/09/17/code-in-the-dark-lines-up-a-fist-full-of-prizes-for-the-best-coders/
Posted by Guillaume Nicoulaud     Economy/Stock ex.
L'Économie positive - Copyright J. Attali

Invité sur BFM Business ce lundi 16 septembre, l'inénarrable Jacques Attali - polytechnicien, énarque, haut fonctionnaire, professeur, écrivain, acteur, chef d'orchestre et d'entreprise [1] et accessoirement conseiller spécial du prince - nous dévoilait un coin de l'épais mystère qui enveloppe le rapport sur l'Économie positive qu'il doit remettre au Président de la République ce 21 septembre de l'an de grâce 2013.

À commencer par la question que tout le monde se pose - du moins dans les lieux suffisamment éloignés du pouvoir pour ne pas être au courant mais pas assez pour s'en moquer éperdument - à savoir : mais qu'est-ce donc que l'Économie positive ? Eh bien, « l'économie positive, nous révèle l'intéressé, c'est l'économie qui s'intéresse au long terme, c'est-à-dire qui prend ses décisions en fonction de l'intérêt des générations suivantes. »

Nous voilà édifiés.

Quoi que... Peut être une illustration serait-elle utile pour mieux comprendre de quoi il retourne ; c'est l'indéboulonnable Jacques qui nous la donne : l'Économie positive c'est, par exemple, « faire en sorte que l'entreprise elle-même ne soit la plus la propriété seulement de ses actionnaires mais qu'elle reflète l'intérêt de toutes les parties prenantes et en particulier qu'elle donne un droit de vote (en quelques sortes) aux générations suivantes. »

Les choses sont beaucoup plus claires : c'est encore une énorme fumisterie.

Un rapide tour sur le site du mouvement attalien permet d'y découvrir son équipe de penseurs pluridisciplinaires : on y retrouve quelques noms connus comme ceux - par ordre alphabétique - de Christine Albanel (lichen parasitaire), Michel Barnier (pécheur européen), Daniel Cohen (économiste hollandiste), Jean-Louis Étienne (explorateur en eaux froides), Paul Jorion (comique troupier), Brice Lalonde (sous-secrétaire biodégradé), Maurice Lévy (publicitaire rémunéré), Matthieu Ricard (moine bouddhiste) et bien sûr l'inévitable Jeffrey Sachs (moraliste malthusien) [2]. Bref, une véritable dream team propre à enthousiasmer tout ce que notre pays compte de doux rêveurs, de philosophes barbus et de victimes de l'effet Dunning-Kruger.

Cerise sur le [...]

http://ordrespontane.blogspot.fr/2013/09/leconomie-positive-copyright-j-attali.html
Posted by Rude Baguette     Technology
Do what you say: the art of following through.

Ok, I'll admit it: ever since I naturalized to French citizenship I've become somewhat more critical of my adopted country. I don't view this as betrayal; on the contrary, I've developed an [...]

http://www.rudebaguette.com/2013/09/17/do-what-you-say/
Posted by Guillaume Nicoulaud     Economy/Stock ex.
De l'indépendance de la Fed

Le 10 septembre 2008, cinq jours avant la faillite de Lehman Brothers, la Réserve fédérale américaines détenait un portefeuille de titres de créance émis par le Trésor des États-Unis évalué à 479,8 milliards de dollars. Cinq ans plus tard, ce 11 septembre 2013, ce montant atteint 2 041 milliards - soit une augmentation de 325% - ce qui fait de la banque centrale américaine, qui détient désormais 17% de la dette publique négociable, le premier créancier du gouvernement des États-Unis [1].

C'est, naturellement, le résultat de la politique monétaire mise en oeuvre par le Federal Open Market Committee (FOMC) ces dernières années, politique qui a principalement consisté, dans un premier temps, à faire baisser le taux moyen du marché interbancaire (les Fed Funds) puis, constatant que cette politique ne produisait pas les effets escomptés (c'est-à-dire une expansion du crédit bancaire ), à agir directement sur la partie longue de la courbe des taux au travers de ce que la presse désigne sous le nom d'opérations de Quantitative Easing.

D'une manière générale, ces opérations se traduisent par (i) la création ex-nihilo de dollars américains [2] - ce qui ne coûte pratiquement rien - et (ii) l'achat de titres de créances, principalement des titres émis par le Trésor des États-Unis, sur le marché secondaire (opérations d'Open Market). Elles ont donc pour effet immédiat d'accroître (i) la base monétaire et (ii) le portefeuille de titres détenu à l'actif des douze banques de la Fed.

Avant de poursuivre, il me faut tordre le cou à deux idées reçues.

La première, c'est l'idée selon laquelle la Fed est une banque privée détenue par les banques commerciales. Sans rentrer dans le détail des très étranges statuts de la banque centrale des États-Unis, il suffit de rappeler que les banques privées nationales ont l'obligation d'être actionnaires, à hauteur d'un montant défini par la loi, d'une des douze banques régionales de la Fed [3], que ces actions ne sont pas transférables, ne comportent pas de droit de vote et ne donnent droit qu'à un dividende statutaire de 6% du montant investi. Par ailleurs, la politique monétaire est décidée au sein du FOMC qui est composé de douze membres dont sept (le Board of Governors) sont désignés par le Président des États-Unis et confirmés par le Sénat. La Fed n'est donc pas plus privée que notre Sécurité [...]

http://ordrespontane.blogspot.fr/2013/09/de-lindependance-de-la-fed.html
Posted by Philippe Béchade     Economy/Stock ex.
Janet Yellen sera-t-elle plus douée que Larry Summers à la tête de la Fed ?

- La journée d'hier nous éclaire sur une facette intéressante et relativement méconnue des marchés financiers en période de création monétaire galopante.

Nous savons depuis le QE de 2010 que les mauvaises nouvelles - ou les chiffres "moins pires que prévus" - sont l'indispensable carburant de la hausse des marchés.

Nous savons également que les contrepieds anachroniques et les séries haussières absurdes sont la meilleure façon de plumer les adeptes du boursicotage au jour le jour.

Nous savons enfin que la chasse aux stops se systématise lorsque le vivier des day traders actifs se raréfie et que le chiffre d'affaire s'évapore... Mais lorsque tous les procédés manipulatoires classiques semblent épuisés (alors que les sommets historiques sont tout proches mais que "ça ne passe pas"), les marchés nous en sortent un nouveau de leur chapeau.

Et bingo ! Voici que surgit une nouvelle astuce imparable : se féliciter qu'un désagrément auquel personne ne croit - mais on fait comme si - se retrouve écarté avant même qu'il ait eu la moindre chance de se matérialiser.

- Larry Summers hors course
Pour Wall Street, le "désagrément" en question était que Lawrence Summers, le meilleur ami des marchés depuis 1996 (cela remonte au second mandat de l'ère Clinton, et les brasseurs d'argent sans scrupules lui doivent beaucoup) puisse être éventuellement proposé par la Maison Blanche pour succéder à Ben Bernanke à la tête de la Fed.

La rumeur d'une annonce officielle imminente par Barack Obama - éventée par un quotidien économique japonais jeudi dernier, allez comprendre comment - avait été accueillie par... l'indifférence la plus totale des marchés.

Souvenez-vous jeudi dernier du coma indiciel dans lequel avaient sombré les actions de part et d'autre de l'Atlantique : zéro variation en Europe, zéro décalage des cours à Wall Street. La "rumeur Summers", ce fut le non-événement total, un non-sujet de conversation et encore moins une variable susceptible de modifier les anticipations des gérants et stratèges.

La raison en est simple : la candidature de M. Summers au poste de patron de la Fed était déjà carbonisée avant même que quiconque songe à la présenter officiellement. La lecture épisodique de la presse nationale durant mes 15 jours de présence sur le sol américain (du 1er au 17 août) était édifiante : abrupt, machiste, prenant tout le monde de [...]

http://la-chronique-agora.com/janet-yellen-summers-fed/
Posted by Rude Baguette     Technology
French government launches €3 Billion late stage fund for mid-sized companies

The French government's capital risk investment arm BPI France announced this week the creation of a 3 Billion euro fund, ETI 2020, which will invest between 300-500 Million euros per year between [...]

http://www.rudebaguette.com/2013/09/17/french-government-launches-e3-billion-late-stage-fund-for-mid-sized-companies/
Posted by Rude Baguette     Technology
At the nexus of fashion and digital, FLOW Paris kicks-off its 3rd edition on September 23rd

Fittingly taking place on the eve of Fashion Week, Ykone's FLOW Paris Conference will welcome top speakers and [...]

http://www.rudebaguette.com/2013/09/17/ykone-flow-conference-fashion-digital/