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Orée Design expands its sustainable tech collection to include marble chargers & wooden touchpads Orée has always strived to create a beautiful blend between nature & technology, and nothing demonstrated that desire more than their ever-popular [...] http://www.rudebaguette.com/2013/09/12/oree-design-announces-new-products-wireless-stone-chargers-wooden-touch-pads-more/ |
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Du jamais-vu pour le S&P 500, du déjà-vu pour Apple ![]() - Très symboliquement, Wall Street est revenu au contact de ses records absolus un 11 septembre, 12ème anniversaire des tragiques évènements qui précipitèrent l'Amérique dans la plus coûteuse guerre de son histoire. Après une entame de séance laborieuse et un raffermissement plus soutenu après 90 minutes de cotation, on aurait pu croire les marchés américains plongés dans un long et solennel recueillement entre 17h35 et 21h57, les cours ayant eu tendance à se tasser dans l'après-midi... Et puis les indices US ont explosé à la hausse au cours des trois dernières minutes de la séance. Il s'est passé à Wall Street exactement la même chose qu'en Europe à la clôture : une hausse soudaine les a ramenés à l'équilibre au moment du fixing. Mais quelques heures plus tôt, ce sont justement les indices américains qui s'étaient envolés - comme par magie - entre 17h30 et 17h35. Certains naïfs perdent encore leur temps à chercher une cause intelligible aux sautes d'humeur de Wall Street vers 17h30 puis à la dernière minute ? Les traders leur expliquent immanquablement que c'est "technique" ! Voilà une expression fourre-tout qui, traduit en langage "chronique-agorien", signifie que les indices ont fait l'objet d'une manipulation de cours pure et simple. Le Dow Jones s'est ainsi retrouvé propulsé de 15 290 vers 15 326, pour une clôture au plus haut du jour. Le S&P 500 est passé de +0,1% à +0,3% et finit au zénith à 1 689. C'était sa huitième hausse consécutive et c'est la quatrième série de plus de sept hausses d'affilée depuis le 1er janvier. C'est unique dans l'histoire du S&P, et le ratio hausses/baisses de cette année est tout simplement étourdissant. C'est surtout du jamais vu en plus de 100 ans quand le rythme de croissance des bénéfices décroit (et passe même négatif) au cours des trois trimestres précédents - tandis que les taux longs se retendent nettement par rapport à la moyenne des 12 derniers mois... ce qui signifie, depuis la mise en oeuvre du QE3. - Les "nouveautés" Apple En terme de "nouveautés" et d'évolution technique, [...] http://la-chronique-agora.com/sp-500-apple/ |
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How creative authors can leverage HTML5 In December, many book professionals will be heading to Guadalajara for the International Bookfair to talk about the business of books. Just as in many [...] http://www.rudebaguette.com/2013/09/12/creative-authors-html5-digital-storytellers/ |
![]() ![]() | Que nous réserve-donc la fin septembre ? Moscovici et boule de gomme... ![]() Ce petit moment d'accalmie sur les marchés boursiers, monétaires et financiers vous est offert par Angela Merkel et la Syrie. La première est actuellement fort occupée dans une campagne électorale qui s'achèvera par un vote le 22 septembre prochain. La seconde donne une occasion rêvée pour certains de se lancer dans la politique internationale, ce qui change des petites balades en Corrèze. Néanmoins, quoi qu'il arrive, les meilleures distractions ont une fin. Sommes-nous donc dans l'oeil du cyclone ? Peut-être. En tout cas, quelques éléments laissent penser que la crise, et au moins dans la zone euro, pourrait bien reprendre. Ainsi, en France, les taux des bons du trésor à 10 ans continuent, lentement mais sûrement, de monter. On atteint à présent les 2.60%. Certes, ce n'est pas encore catastrophique, loin s'en faut : de tels taux représentent une véritable aubaine pour les services de l'État qui continuent donc d'emprunter à qui mieux-mieux. On pourrait croire, du reste, qu'ils en profiteraient pour allonger au maximum la maturité moyenne de la dette française : lorsque les taux sont bas, mieux vaut emprunter sur des périodes longues. Mauvaise gestion, stratégie complexe qui cache des méthodes sioux ou difficulté à écouler des bons à 10 ans ? On se perd en conjectures mais le fait est qu'en réalité, loin d'augmenter, la maturité moyenne diminue ; tout se passe comme si les bons à 10 ans étaient actuellement remplacés par des bons plus courts, plus liquides sur les marchés financiers. C'est ballot, parce que cette dette coûte cher : c'est déjà le premier poste de dépense de l'État, et l'augmentation actuelle des taux, assez rapide (depuis mai, ils sont passés d'environ 1.65% à quelque chose autour de 2.60%), finit par jouer un rôle important dans le budget : eh oui, ces petits morceaux de papier qui gigotent sur les marchés, il y en a pour 46.2 milliards d'euros, tous les ans. Plus que l'éducation, les retraites ou la défense. Miam. Et une augmentation d'un petit pourcent du taux d'emprunt, c'est plusieurs milliards d'euros (entre 2 et 3) à trouver pour boucler l'année, en plus de ceux qu'il faut déjà emprunter pour le roll-over. Il faut donc être socialiste tout droit sorti de l'ENA pour ne pas comprendre que tout frémissement des marchés dans le mauvais sens aura immédiatement des [...] http://h16free.com/2013/09/12/25859-que-nous-reserve-donc-la-fin-septembre-moscovici-et-boule-de-gomme |
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[Invité] L'affaire syrienne, ou le suicide moral des socialistes français, par Chokri Ben Fradj ![]() Je suis heureux d'accueillir aujourd'hui le billet invité que m'a fait parvenir l'historien Chokri Ben Fradj, donnant son point de vue étayé sur la Syrie sans langue de bois, afin de mieux comprendre la complexité de la situation... L'agression franco-américaine contre la Syrie se prépare ouvertement et en plein jour. Qu'elle ait lieu finalement ou pas, elle nous permet, déjà, de constater que les socialistes français ont achevé leur mutation idéologique entamée, sous [...] http://www.les-crises.fr/syrie-ou-le-suicide-moral/ |
![]() ![]() | Tiens, on dirait un tsunami de nouveaux impôts ![]() Suite au rendez-vous à l'Élysée de plusieurs minustres avec François Hollande pour caler les derniers arbitrages du budget 2014, nous venons d'avoir droit à une très jolie vague d'annonces budgétaires bien épaisse, bien forte, bien mousseuse avec force crustacés, goémon et petit fretin vigoureux. La pèche est sensationnelle. Et ce n'est absolument pas rassurant. Très concrètement, c'est un véritable tsunami fiscal qui déboule sur la France tant au niveau des particuliers que des entreprises. Et comme d'habitude, malgré les dénégations ridicules du gouvernement, tout le monde va devoir cracher au bassinet, y compris et surtout les pauvres. Les riches, je vous le rappelle, sont déjà exfiltrés, à l'abri, ou travaillent d'arrache-pied pour liquider leurs avoirs et les faire passer la frontière. J'aurais l'occasion de revenir sur quelques unes de ces inventions rocambolesques qui sont en cours d'introduction à marche forcée pour l'année 2014. Mais il suffit d'éplucher la presse récente pour lever toute ambiguïté concernant la fameuse pause fiscale, qui s'écrit maintenant « pose fiscale », exactement comme dans « pose d'un cathéter ». On découvre, consterné, que pour les entreprises dont le chiffre d'affaire est au-dessus de 50 millions d'euros, l'Excédent Brut d'Exploitation, l'EBE, va être taxé, à 1.6%. En gros, comme cet EBE inclut les amortissements et les provisions, ce sera donc un impôt qui va donc généreusement cogner les entreprises qui investissent. C'est extrêmement judicieux. On lit, effaré, que les Français vont goûter à un rééchelonnement de la TVA : on passe de 7% à 10%, et de 19.6% à 20%. Là où l'idée générale, en temps de crise, est de conserver un maximum de pouvoir d'achat aux populations, on comprendra que la manoeuvre est finement ouvragée pour faire exactement le contraire. C'est extrêmement malin. On constate, modérément amusé, que le [...] http://h16free.com/2013/09/11/25911-tiens-on-dirait-un-tsunami-de-nouveaux-impots |
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Leçon de propagande appliquée Le dernier papier de Jérôme Leroy sur Causeur.fr est un véritable bijou. En 5 284 caractères, notre ami communiste résume si bien l'oeuvre et le style de Naomi Klein qu'il en devient inutile d'acheter ses bouquins. Tout y est ; dans le fonds, bien sûr, mais aussi dans la forme : cet art subtil qui consiste à le suggérer sans l'écrire, à faire passer une idée sans jamais prêter le flanc à une contre-démonstration factuelle. De Klein, Jérôme Leroy dégage les quatre idées centrales : La première, c'est celle qui veut qu'Allende fût une sorte de héro populaire ; un président largement soutenu par le peuple chilien qui, nous suggère-t-on, était en passe de réussir une « expérience démocratique de transition vers le socialisme » avant que la junte de Pinochet ne vienne réprimer cette tentative dans un bain de sang. La seconde, c'est la stratégie du choc elle-même. Une organisation secrète, à la solde du grand capital, domiciliée dans les murs de l'université de Chicago ou au sommet du mont Pèlerin aurait planifié et fait exécuter une stratégie qui consiste à créer des catastrophes pour imposer de force une dictature capitaliste et libérale - c'est le capitalisme du désastre, la stratégie du néolibéralisme. De là, troisième idée : le Chili, par l'intermédiaire de l'ignoble Milton Friedman et de ses Chicago boys fût la première expérience de ladite organisation : c'est eux qui ont renversé Allende avec l'aide de la CIA, c'est eux qui ont installé Augusto Pinochet au pouvoir et c'est encore eux qui l'y ont maintenu afin d'imposer leur programme par la force. Quatrième et dernière idée, enfin : c'est ce même programme néolibéral qui a, par la suite, été appliqué partout dans le monde - en Argentine, avec le renversement du gouvernement d'Isabel Perón, en Angleterre par Thatcher et aux États-Unis par Reagan - et qui à l'origine de la terrible dégradation de nos conditions de vies depuis quatre décennies. Dans les grandes lignes, nous sommes donc priés de retenir que cette organisation de propagandistes inféodés au grand capital a sciemment déclenché des catastrophes et soutenu les pires des dictateurs dans le seul but de pérenniser le capitalisme - les profits des capitalistes - aux dépens du plus grand nombre. Bien sûr, rien de tout cela n'est écrit de manière vraiment [...] http://ordrespontane.blogspot.fr/2013/09/lecon-de-propagande-appliquee.html |
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Study suggests, few European companies view Big Data as 'very relevant' Each year, Steria's Business Intelligence Maturity Audit (biMA®) conducts a survey across 20 European countries to examine the readiness [...] http://www.rudebaguette.com/2013/09/11/study-suggests-few-european-companies-view-big-data-as-very-relevant/ |
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La hausse des taux d'intérêt et le cauchemar du carry trade ![]() - C'était à la une de tous les sites boursiers après les 2% de hausse des places européennes mardi : tous les soucis du moment et de l'été se sont envolés en l'espace d'une nuit. La guerre avec la Syrie n'aura pas lieu, la Fed ne réduira pas son QE3 en septembre (le marché en est maintenant convaincu), la croissance chinoise ressurgit spontanément et dans des proportions inattendues - alors qu'elle se contracte dans la quasi-totalité des pays émergents. Avec un tel triptyque de fabuleuses nouvelles, comment l'EuroStoxx 50, le CAC 40, le DAX 30 ou le S&P 500 n'auraient-ils pas retracé leurs records annuels ? Sauf que tout le monde se trompe : le véritable scoop, l'apothéose de la séance de mardi, c'est la consécration de Goldman Sachs qui accède à l'Olympe, au Saint-Graal, au Panthéon du capitalisme. Oui, "GS" va intégrer le Dow Jones le 23 septembre prochain, en lieu et place de Bank of America Merrill Lynch (qui représente seulement 40 millions de "petits" clients aux Etats-Unis et 57 millions de par le monde). Notons également que Nike botte Alcoa en touche et que Hewlett-Packard obtient son Visa pour la seconde division (et oui, c'est Visa qui monte en première). Ce sont donc 10% des composantes du Dow Jones qui vont être remaniés dans 10 jours ; l'indice surnommé "Industrial" mérite de moins en moins son appellation. Pour marquer le coup, le Dow en a terminé hier soir sur un gain de 0,85%, au plus haut depuis la mi-août, à 15 191 points. Le S&P 500 (+0,75%) a aligné une septième séance de hausse consécutive. Quant au Nasdaq (+0,6%), il a pulvérisé un nouveau record historique - oublions les sommets de mars 2000, les investisseurs étaient en proie à une hallucination collective. Bien qu'il soit beaucoup question des actions américaines dans cette chronique, cela ne nous fait pas perdre de vue que Wall Street a été loin de manifester la même exubérance haussière que Paris, Madrid ou Francfort. Le DAX 30 (+2%) retrace les 8 450 points et se retrouve à 1% de son record historique du 29 mai (8 530 points). De son côté, le CAC 40 teste les 4 120 points et tutoie son zénith des 4 124 points du 16 août. - Et pendant ce temps-là, les taux continuent de se tendre ! Le rendement des T-Bonds [...] http://la-chronique-agora.com/taux-interet-carry-trade/ |
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Startup Pitch Competitions have tricked Founders into sharing all their secrets. Once every 2 ½ hours, a startup, somewhere in the world, is being asked on stage to give confidential information about their startup - that's not a real statistic, but it certainly feels [...] http://www.rudebaguette.com/2013/09/11/startup-pitch-competitions-founders/ |
![]() ![]() | Hollande, la présidence de la vacuité ![]() L'année que Hollande s'était donnée pour inverser la courbe du chômage est passée. Patatras, la courbe ne s'est pas inversée, il s'est banané. Les impôts ne baissent pas, tout comme les déficits ; ils augmentent même, à bon rythme. La croissance est anecdotique, tout comme les réformes. L'avenir semble vide. Oui, vide. C'est bien de vide dont on peut parler lorsqu'on évoque Hollande. Si Sarkozy avait placé son quinquennat sous le signe résolu de l'effervescence insupportable et de l'épilepsie médiatique en mode continu, la première année de Hollande se caractérise par un dégonflement progressif et inexorable de la baudruche socialiste pour terminer sur un grand vide sidérant. Cette vacuité politique, dont le fumet était sensible depuis le dernier mandat de Chirac, est devenue bien plus forte aux premiers mois du quinquennat pédaloflambiste : fixant de façon approximative les tendances floues et molles d'une politique inscrite dans la réaction précipitée aux événements extérieurs, le président se sera lentement laissé balloter par l'actualité. Toutes ses démarches ont suivi deux sillons : celui de l'opposition systématique à son prédécesseur qu'il ne peut absolument pas encaisser, et celui des petits cadeaux aux amis et sa famille politique pour se ménager de larges tranches de tranquillité politique. Ainsi - et c'est un simple exemple parmi tant d'autres - pour des raisons purement dogmatiques, on l'a vu supprimer les heures supplémentaires défiscalisées, pour, un an plus tard, se rendre compte que cette idée avait un impact flagrant sur le pouvoir d'achat et l'emploi, y compris et notamment celui de sa base électorale. La marche-arrière, vaguement évoquée par le truchement de son ministre du budget, ne pourra politiquement pas passer, mais le type en charge de l'exécutif a bien senti qu'il avait fait une belle bourde (et ses députés le lui ont dit). Tant pis pour lui, trop tard. Et trop tard pour les Français. Ainsi, on laisse gentiment libres Taubira, Peillon et Vallaud-Belkacem dans leurs délires constructivistes. Bien évidemment, les histoires de mariage homosexuel, de genre et d'éducation sexuelle à l'école, de laïcité qui cogne, de prisons plus bisou-compatibles, tout cela, c'est très loin d'être neutre pour la société. Mais [...] http://h16free.com/2013/09/11/25841-hollande-la-presidence-de-la-vacuite |
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[Reprise] Il y a 40 ans, le renversement d'Allende, par Hernando Calvo Ospina ![]() Reprise d'un article du Grand Soir, sur les événements fomentés ne 1973 par "nos amis les rois de la Démocratie dans le monde" Le 11 septembre 1973, Salvador Allende, président démocratiquement élu du Chili, mourait pendant un coup d'Etat militaire ourdi et financé depuis les Etats-unis. La répression fit 3 800 morts ou disparus (évaluation minimale) et plus de 37 000 torturés. [...] http://www.les-crises.fr/renversement-allende/ |
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Rude VC on the PEA-PME and tax optimization game Last week's post on finance minister Pierre [...] http://www.rudebaguette.com/2013/09/10/rude-vc-on-the-pea-pme-and-tax-optimization-game/ |
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iSketchnote launches KickStarter to turn your physical sketches digital With Lima's $1.2 Million KickStarter campaign successfully wrapped up, it's time to turn our [...] http://www.rudebaguette.com/2013/09/10/isketchnote-kickstarter-campaign/ |
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Tokyo en forme olympique, Wall Street en forme de fusée, Europe en forme de méduse échouée ![]() - Il fallait bien que les places européennes fonctionnent lundi. Les cotations ont donc repris à 9h mais la séance n'a jamais vraiment démarré. Paris a terminé quasi-stable (-0,2%), dans des volumes de deux milliards d'euros. C'est à se demander quand la véritable rentrée aura lieu - parce que franchement, nous ne voyons pas bien en quoi l'activité de ce 9 septembre différait du 9 août dernier. Huit heures et demi plus tard, les marchés ont fermé leurs portes... mais les opérateurs avaient déjà pris congé depuis l'heure du déjeuner. Personne n'a tenté de profiter de la hausse inattendue des indices américains, deux fois supérieures aux anticipations dès le premier quart d'heure, plus de trois fois à la mi-séance et près de quatre fois à la clôture. Nous n'allons pas vous faire perdre votre temps en cherchant à tirer des enseignements d'une journée insignifiante en Zone euro. C'est le Japon qui faisait l'actualité avec l'annonce ce week-end de l'attribution à Tokyo des Jeux olympiques pour l'édition 2020... et l'annonce dans la foulée d'un rehaussement des objectifs de croissance 2013 par le gouvernement nippon. - Le Japon en pleine forme... si si Mais M. Shinzo Abe, constatant une hausse de 0,9% du PIB au deuxième trimestre (après retraitement des données) qui marque une nette accélération par rapport au premier trimestre, projette cette courbe exponentielle sur le second semestre 2013. Allez, d'ici fin 2014, le Japon aura rattrapé, voire pourquoi pas dépassé, la Chine ! M. Abe affiche une confiance aveugle dans l'efficacité de sa politique d'injection monétaire (dont la Banque du Japon est la cheville ouvrière) ; il occulte totalement l'explosion du taux d'endettement qui en résulte. La question reste de savoir dans quelles proportions la demande intérieure va contribuer à la hausse du PIB. En effet, les ménages sont pris en ciseau entre la hausse de certains impôts et l'envolée du prix des carburants ainsi que des matières premières importées en général. La réponse fuse comme coulant de source : avec la reprise actuelle et le plein emploi qui en découle, les salaires vont se caler sur la courbe de la croissance. [...]http://la-chronique-agora.com/tokyo-wall-street-europe/ |