Elisabeth Borne, après avoir plaidé pour l'apaisement du pays et déclaré ne pas vouloir que les syndicats sortent "humiliés" de la séquence réforme des retraites, a fini par se ranger derrière le président de la République. Elle a fait savoir qu'il fixait le cap et qu'elle travaillait sur "la feuille de route qu'il m'a donnée". De tels propos ne traduisent-ils pas un profond manque de respect pour la constitution [...]