Non ce n'est pas la demande (le nombre de bouches à nourrir) qui constitue la limite du système, c'est l'offre!.... c'est l'of
Category: Politics

Posted by Bruno Bertez  
Non ce n'est pas la demande (le nombre de bouches à nourrir) qui constitue la limite du système, c'est l'offre!.... c'est l'of
Non ce n'est pas la demande (le nombre de bouches à nourrir) qui constitue la limite du système, c'est l'offre!.... c'est l'offre. Par Bruno Bertez

La demande, transformée comme elle l'est par la civilisation et la culture, dans nos sociétés modernes, en désir, est infinie. Avec le nombre de pages- fini et limité- d'un dictionnaire on peut faire une infinité de phrases et de romans et on ne s'en prive pas.

L'horizon de l'économie, l'horizon de la grande réconciliation entre la finance et le réel c'est la rareté: rareté des ressources et limites au travail humain.

La valeur financière a comme limite non pas la demande d'actifs financiers qui est infinie, mais la contrevaleur de la finance, c'est à dire la production.

Si le système n'était pas malthusien par construction, alors la limite des échanges serait la rareté du travail et des matières premières. Etant entendu que par travail il faut entendre le travail total c'est à dire inclure le travail qualifié et le progrès des technologies et processus de production.

La preuve que nos systèmes sont malthusiens par construction est que lorsqu'un équipement ou des hommes ne sont pas rentables, on les met au rencart et au chômage. La nécessité du profit, qui limite la production à ce qu'il est rentable de produire, la nécessité du profit est le régulateur/limitateur de la croissance.

La contrainte de profit est une contrainte d'économie et d'optimisation.

Contrairement à ce que pensent les gens de gauche et les écolos, le profit est, s'il n'est pas perverti, par des règles du jeu [...]

http://leblogalupus.com/2014/11/29/non-ce-nest-pas-la-demande-le-nombre-de-bouches-a-nourrir-qui-constitue-la-limite-du-systeme-cest-loffre-cest-loffre-par-bruno-bertez/